
Sur les 299 victimes du chirurgien, pour la plupart mineures au moment des faits, plus de la moitié sont des garçons. Les violences sexuelles sont aussi subies par des garçons et hommes qui, confrontés à des stéréotypes qui les empêchent de dévoiler ce qu’ils ont subi, ne bénéficient pas de la même prise en charge que les femmes.