Lors des émeutes qui ont éclaté après la mort de Nahel, 17 ans, tué par un policier mardi 27 juin, une partie de la colère s’est tournée vers les élus locaux, notamment les maires. Alors que plusieurs d’entre eux ont été ciblés, la violence semble avoir atteint son paroxysme dimanche, lorsque le domicile de l’édile de L’Haÿ-les-Roses, dans le Val-de-Marne, a été attaqué par une voiture bélier.